Google va se lancer sur le marché des montres connectées

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Après Samsung mais avant Apple, Google s’apprête à lancer la production d’une montre connectée qui fonctionnera sous Androïd et intégrera l’assistant numérique Google Now.

La guerre des accessoires connectés aura bien lieu. Google est au stade final du développement de sa montre connectée, et recherche actuellement un fournisseur de composants en Asie avant de lancer la production de masse qui pourrait intervenir dans les prochains mois, selon des sources citées par le Wall Street Journal . On ne connaît pas encore le nom de cet accessoire qui vient compléter la gamme des objets connectés Google, après les smartphones et les lunettes.

La montre fonctionnera sous Android, le système d’exploitation mobile du géant de l’internet, et intégra l’assistant personnel Google Now. Equivalent du Siri d’Apple, il devrait permettre d’effectuer des tâches courantes depuis sa montre, comme rechercher son chemin, accéder à ses emails ou initier un appel téléphonique. Dans le domaine des montres connectées, Samsung a déjà pris une longueur d’avance avec le lancement remarqué de sa Galaxy Gear en septembre dernier. Sony fait figure de pionnier dans le domaine, avec le lancement de la seconde génération de sa SmartWatch, six ans après le lancement de sa grande soeur. Apple devrait également présenter un modèle d’iWatch incessamment sous peu.

Relais de croissance

Pour se démarquer de la concurrence, Google concentrerait particulièrement ses efforts sur l’autonomie. Les montres connectées actuelles nécessitent un rechargement quasi quotidien. Une faiblesse qui rend leur utilisation particulièrement contraignante. Autre problème, leur interconnections obligatoire à un smartphone. Selon les informations du Wall Street Journal, la montre de Google ne devrait pas déroger à la règle. Elle fonctionnera uniquement connectée à un téléphone Android. Jusqu’à présent, une montre indépendante d’un smartphone coûterait trop cher à produire et serait bien trop volumineuse, affirme une (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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