Call of Duty : ‘Black Ops 2’, plusieurs nuances de gris

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Call of Duty, c’est la licence-phare du jeu de tir, et ce sont deux studios. Pour la guerre contemporaine, il y a ‘Modern Warfare’, développé par le studio Infinity Ward. Pour les conflits plus anciens, il y a ‘Black Ops’, développé par Treyarch. Du moins, c’était le cas jusqu’à cette année, et la sortie de ‘Black Ops 2’, qui ne se contente pas de marcher dans les pas de son prédécesseur en revisitant les guerres larvées, enlèvements et autres opérations très spéciales menées par la CIA dans les années 1960 et 1970. Treyarch s’est en effet emparé d’une période qui n’avait pas encore été abordée dans un Call of Duty : l’année 2025.

‘Black Ops 2’ fait le grand écart permanent entre les années 1960, les Cubains, le Nicaragua, l’Angola et un futur robotisé et ultratechnique, où la Chine et l’Inde ont acquis au moins autant d’importance que les Etats-Unis. Résultat, le joueur oscille en permanence entre la Kalachnikov et le drone de combat, et lutte aussi bien contre les Soviétiques en Afghanistan que les membres d’un groupe révolutionnaire futuriste sur fond de lutte pour l’accès aux terres rares.

Résultat, le jeu est un vaste fourre-tout, tant au niveau du scénario que du gameplay. Les missions vont du très classique assaut à des scénarios de défense tactique, en passant par des missions d’infiltration, un peu comme si Treyarch avait souhaité offrir un éventail complet de situations pour tenter de satisfaire les amateurs de tous les types de jeu de tir une recette rarement efficace.

Pour autant, le mode tactique, dans lequel le joueur peut contrôler à la fois des soldats, des drones et des tourelles défensives, et faire évoluer sa stratégie en temps réel sur la carte, fonctionne bien, justement parce qu’il permet au joueur de jouer selon son style, en utilisant au maximum la carte pour diriger ses unités ou, à l’opposé, en se contentant de foncer dans le tas en vue (…) Lire la suite sur lemonde.fr

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