Un conseil : ne téléchargez jamais Candy Crush !

Author:

[asset:1074604 mode=”full” align=”left” field_asset_encadre_title=”Un jeu sans fin” field_asset_encadre_text=”[pCandy Crush est un “free-to-play”, une application gratuite aux contenus additionnels payants (pour accéder plus vite à un niveau supérieur ou acquérir plus de pouvoir, il faut payer). Téléchargeable sur smartphone ou sur tablette, elle reprend le principe du célèbre Tetris : le but du jeu est d’associer des combinaisons de bonbons aux couleurs acidulées, et de les éclater pour marquer un maximum de points et grimper les échelons. La fin ? Il n’y en a pas. Le jeu se prolonge à l’infini. S.P.”]]

Le problème avec Candy Crush, c’est que le jeu est toujours à portée de main. Ordinateur, tablette, smartphone : les tentations sont multiples. Le risque de devenir “accro” aussi.

C’est arrivé à Anton, qui prévient sur Facebook :

“En sevrage de Candy Crush, merci de ne plus m’envoyer d’invitations. C’est comme arrêter de fumer et trouver un paquet de clope dans sa boîte aux lettres tous les jours…”

Il n’est pas le seul à s’être diagnostiqué une addiction. Sur Twitter, certains utilisateurs comme @MickDpG comparent le jeu à une drogue :

Tandis que les plus mordus (et désespérés) demandent des conseils aux internautes pour arrêter, et likent des pages Facebook contre l’addiction au jeu, Charlotte, blogueuse à “Et si on ne parlait pas de foot?” n’en est pas encore là.

Pourtant, elle semble déjà totalement accro :

“Avant, Candy Crush était là pour passer le temps, maintenant, c’est le reste de la vie qui est là pour nous occuper entre deux parties”.

3 à 4 heures par jour sur cette “connerie”

Si Laura, une étudiante belge de 23 ans, a réussi à décrocher, c’est parce qu’elle était bloquée depuis plusieurs jours au même niveau et que personne ne lui envoyait de “vies”. Sa vie, semble-t-il, ne tournait plus qu’autour du jeu :

“Je jouais à Candy Crush sur mon ordi pendant les cours et après, une fois rentrée chez moi. En tout, je passais entre trois et quatre heures par jour là-dessus. (…)

Lire la suite sur rue89.com

Vous êtes accro à « Candy Crush » : les quinze signes qui ne trompent pas
Drogué du smartphone, vous êtes « névrosé », « nanti » et « naïf »
Baisse de fréquence des rapports sexuels : la faute aux smartphones ?

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *