Tinder poursuivi pour «harcèlement sexuel»

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ETATS-UNIS – Une ancienne cadre, Whitney Wolfe, accuse également son ancien employeur de discrimination contre les femmes…

Du rififi chez Tinder. L’application mobile de dating fait face à l’action judiciaire d’une ancienne de ses cadres pour «harcèlement sexuel», alors que de nombreuses femmes dénoncent le sexisme ambiant de la Silicon Valley.

Whitney Wolfe poursuit l’entreprise ainsi que deux dirigeants, le directeur général Sean Rad et le directeur marketing, Justin Mateen. Elle accuse ce dernier, avec qui elle a eu une liaison, de l’avoir traitée de «pute» et «d’ivrogne» lors d’une réunion et de lui avoir envoyé des SMS à répétition.

Affaires en séries

Listée comme «cofondatrice» de la startup, notamment pour avoir trouvé le nom «Tinder», elle affirme avoir été privée de son titre car elle était «une femme». Selon Wolfe, Mateen aurait expliqué que c’était «mauvais pour la valorisation» de la startup. Tinder a précisé que Mateen était suspendu en attendant les résultats d’une enquête interne.

Dans un monde de «brogrammers» (des programmeurs qui font la fête comme à la fac), les actions judiciaires entamées par des femmes se multiplient. Récemment, Github s’était séparé de son cofondateur Tom Preston-Werner, accusé d’avoir harcelé l’ancienne employée Julia Horvath.

 

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