Test: «20 Minutes» a joué à «Call of Duty: Black Ops 2»

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Après une pub avec les comédiens Omar Sy et Robert Downey Jr. à 33 millions de vues sur YouTube, après l’annonce de ventes mondiales rapportant 500 millions de dollars en 24 heures à l’éditeur Activision, après la grosse opération marketing, il reste un jeu vidéo de tir subjectif militaire, qui s’invite désormais chaque fin d’année comme un «Fifa» saisonnier.

Une variété de styles de jeu

Donc «Call of Duty : Black Ops 2», réalisé par le studio Treyarch, déboule avec une campagne en ligne droite, secouée par des explosions, et un scénario de thriller futuriste (on est en 2025), palpitant comme le mode d’emploi d’un Famas. On s’amusera à repérer le visage de David Petraeus, l’ex-chef de la CIA (commandant des armées dans cette fiction), qui a récemment démissionné après la découverte d’un adultère. De toute façon, la plupart des fans du genre lorgent surtout vers son mode en ligne. Tant mieux, le mode multijoueur de ce «Black Ops 2» , bien rodé par ses déclinaisons précédentes, est redoutablement efficace. La conception de ses cartes, toutes en recoins, hauteurs ou grandes surfaces, la large panoplie de gadgets high-tech (robots, drones…), l’éventail de modes de jeu et la personnalisation de son soldat offrent une variété appréciable de matchs. Mais on est bien en peine de trouver une seule femme parmi les avatars. Parce qu’il n’y en a pas. Chez «Call of Duty», on a vaguement dû entendre parler de la féminisation de l’armée.

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