SFR met la 4G dans un forfait RED, avec YouTube en illimité

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Comme Bouygues Telecom et Orange, le deuxième opérateur français enrichit l’offre de sa marque «low cost» pour contrer Free Mobile. À un prix un peu plus cher que ses concurrents.

SFR cède aussi à la 4G à bas prix. Jeudi, l’opérateur a annoncé l’arrivée de l’Internet à très haut débit chez RED, sa marque «low cost», à partir du 14 janvier 2014. Le forfait qui inclura de la 4G comprendra 5 Go de téléchargement, des appels illimités vers la France, l’Amérique du Nord, les DOM et les fixes de 41 destinations, ainsi que les SMS et MMS en illimités. Le tarif sera de 25,99 euros par mois.

L’offre de SFR est un peu plus chère que celle de ses concurrents. Début décembre, Free Mobile a secoué le secteur des télécoms en intégrant la 4G dans son forfait à 19,99 euros par mois, assorti de 20 Go de téléchargements. Bouygues Telecom a été le premier à réagir et s’est calé sur ce prix, avec sa marque BYou. Orange a suivi quelques jours plus tard en annonçant la 4G dans Sosh. À partir du 9 janvier, l’Internet à très haut débit sera automatiquement activée dans son forfait à 24,90 euros par mois, à condition d’avoir un smartphone compatible.

De la 3G+ et de la 4G dans le RER

SFR entend toutefois se distinguer sur les services. Son forfait 4G RED comprendra un accès illimité aux vidéos de YouTube, qui ne seront donc pas décomptées des 5 Go de téléchargement mensuels. «90% de nos clients qui vont au bout de notre quota actuel de 3 Go sont des consommateurs de YouTube, nous nous intéressons à cette cible», explique Guillaume Boutin, directeur marketing de SFR. RED dispose à ce jour de 1,7 million de clients.

SFR met également en avant la qualité de son réseau. Il a annoncé jeudi le lancement de la 3G+ et de la 4G sur la ligne A du RER, entre la Défense et Gare de Lyon. Tous ses clients qui disposent d’un forfait compatible pourront visionner des vidéos dans les rames ou sur les quais. Une prouesse, puisque jusqu’à 5000 voyageurs peuvent se croiser lorsque deux trains se (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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