Samsung Galaxy S5 : un lecteur d’empreintes et un meilleur écran

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Le nouveau smartphone de Samsung pourra être déverrouillé par reconnaissance digitale, comme l’iPhone 5s et le HTC One Max. Il sera dévoilé la semaine prochaine lors du Mobile World Congress de Barcelone.

Le Galaxy S5 obéira à votre doigt. Le nouveau smartphone de Samsung sera «équipé d’un capteur d’empreintes», a révélé lundi Sammobile. Il sera situé sur le bouton principal, bien qu’une autre information faisait état d’un capteur digital disponible sur tout l’écran. La reconnaissance digitale est déjà utilisée sur l’iPhone 5s et le HTC One Max mais «aucun des dispositifs mobiles [de Apple et HTC] n’utilise totalement le potentiel du capteur», a précisé le site spécialisé en actualité Samsung. Sammobile n’a pas apporté d’information concernant un possible système de reconnaissance oculaire évoqué en janvier par Bloomberg.

Pour enregistrer son identité digitale une première fois, il faudra faire glisser l’ensemble de son doigt, de la base au sommet, sur le capteur. Après cela pour utiliser le système efficacement, il faudra mettre son doigt bien à plat puis le glisser à une vitesse modérée. Tout comme sur l’iPhone 5s, il sera alors possible de débloquer son téléphone uniquement avec son empreinte. Il sera toujours possible d’utiliser un code PIN en complément. Samsung a également ajouté la possibilité d’enregistrer huit empreintes différentes et leur attribuer chacune une tâche précise, selon Sammobile. Par exemple, le Galaxy S5 permet d’ajouter l’empreinte d’un enfant pour qu’il n’accède qu’à Angry Birds. Le HTC One Max a également cette fonctionnalité d’attribution d’une tâche en fonction du doigt.

Une différenciation marquée avec le prédécesseur

D’autres révélations sont arrivées dans la foulée. Le Galaxy S5 sera doté d’un écran de 5,2 pouces et d’une résolution de meilleure qualité. La batterie serait améliorée et le S5 aurait un appareil photo de 16 mégapixels, selon des informations de Bloomberg et Pocket-link. Deux versions du smartphone pourraient voir (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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