‘Pokémon Noir et Blanc 2’, l’art de la suite

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La révolution ne viendra pas de Pokémon Noir 2 et Pokémon Blanc 2, les derniers volets de l’une des sagas les plus rémunératrices de l’histoire du jeu vidéo. Nintendo assume cette fois de sortir une suite : le préambule habituel est écourté, l’ennemi est affiché dès le début et le héros débute dans une grande ville. Il sera difficile de jouer à cette mouture sans avoir fini le jeu précédent, autant pour son scénario peu expliqué que pour la difficulté, nettement relevée.

Après la révolution en trompe-l’oeil qu’étaient Pokémon Noir et Pokémon Blanc, Game Freak revient avec sa première suite directe. Depuis dix-sept ans, Game Freak sort simultanément trois jeux par génération de monstres de poche : deux jeux complémentaires et une version de synthèse. Pour cette dernière mouture, le développeur a préféré deux suites directes. Pokémon Noir et Blanc étaient annoncés comme une ‘révolution’ destinée aux premiers joueurs de la saga, à qui Nintendo a déjà tenté de vendre des remakes des générations les plus populaires.

UNE SUITE ENRICHIE

Derrière la promesse d’un jeu moins enfantin et candide se cachaient les mécaniques de jeu de rôle exploitées depuis le tout premier opus. Le ‘méchant’, N, dénonçait ainsi le concept de combat de monstre au coeur du jeu… Pour des changements essentiellement cosmétiques : le joueur devait toujours collecter huit badges dans des arènes au fil de son voyage, pour vaincre en fin de jeu la Ligue Pokémon, tout en mettant) à mal les plans d’une organisation ‘maléfique’. Les combats au tour par tour, tout l’intérêt du jeu, reprenaient la recette connue sans grand changement. Au fond, rien ne changeait…

Noir et Blanc 2 se déroulent deux ans après. L’organisation maléfique, la Team Plasma, dont le but était de libérer tous les monstres de poche, s’est scindée en deux, et le héros aura la charge de poursuivre l’oeuvre de son prédécesseur en mettant définitivement fin à leurs (…) Lire la suite sur lemonde.fr

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