Microsoft célèbre ses start-up parisiennes

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Le groupe américain a présenté cette semaine la troisième promotion de start-up de son accélérateur parisien, Microsoft Ventures. L’un de ses anciens élèves, Youmiam, vient de lever 300.000 euros.

C’est la rentrée des classes chez Microsoft. L’entreprise a lancé le départ de la troisième saison de son accélérateur parisien de start-up, Microsoft Ventures. Autrefois appelé Spark, l’institution a pour objectif d’aider au développement une dizaine de micro-entreprises, grâce à une formation intensive de trois mois.

Le 7 janvier, huit nouvelles start-up se sont installées dans les locaux, un espace de 300 mètres carrés logé en plein cœur du quartier du Sentier, à Paris. Outre les bureaux, ces huits équipes d’entrepreneurs bénéficient de formations en tous genres afin de solidifier leur projet d’entreprise et, espérent-ils, se faire repérer par des investisseurs.

Six mois après son lancement, Microsoft Ventures tient son premier champion. Youmiam, plateforme collaborative autour des recettes de cuisine et ancien élève de l’accélérateur, a bouclé au début d’année sa première levée de fonds. Son équipe a récolté 300.000 euros auprès de différents investisseurs, dont Thierry Petit, PDG du site Showroomprivé.

Les exemples Deezer, Dailymotion et Withings.

«Cette réussite valide notre modèle», se réjouit Jean Ferré, directeur de la division plateforme et écosystèmes chez Microsoft France, qui supervise le projet Microsoft Ventures. «Nous sommes à même d’aider les start-up», ajoute-t-il. Cette stratégie d’aide aux micro-entreprises s’ancre particulièrement en France, où Microsoft avait déjà lancé le programme Biz-Spark en 2005. L’initiative a finalement été étendue au monde entier en 2008. L’accélérateur parisien de Microsoft fut le premier du genre en Europe. Depuis, le groupe a ouvert deux autres accélérateurs en Europe, à Londres et à Berlin. «À Paris il y a Deezer, Dailymotion ou Withings», précise Jean Ferré, «quel que soit son domaine, on peut y trouver des grands (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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