Les Bleus déclenchent une avalanche de tweets

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Le match France-Ukraine a suscité plus d’un million de tweets sur le réseau social, devenant l’événement sportif le plus commenté en France.

Il n’y a pas qu’au Stade de France que les supporteurs de l’équipe de France de football se sont déchaînés hier, lors du match retour France-Ukraine pour la qualification au Mondial brésilien. Les réseaux sociaux ont également vibré au rythme de la performance des Bleus qui s’est achevée par une victoire 3-0. Selon l’agence de conseil digitale Novedia, 1,1 million de tweets ont été échangés tout au long de la soirée, faisant de cette rencontre l’événement sportif le plus commenté sur Twitter en France, tous sports confondus.

Cette performance se situe très loin devant le classico OM-PSG d’octobre dernier qui approchait les 480.000 tweets, et encore plus loin devant la finale de l’Euro Basket de septembre qui en a engendré 138.000. «C’est complètement unique en France», commente Thibault Celier, directeur média chez Novedia.

Sans surprise, c’est au moment des buts que les «tweetos» se sont lâchés. Le premier pic de commentaire a eu lieu vers 21h23, lors du premier but de Mamadou Sakho, avec une moyenne de 19.319 tweets par minute. Le deuxième but de Karim Benzema vers 21h35 déclenche 18.312 tweets à la minute. Le troisième, celui qui permet au Bleus de décrocher leur billet pour la Coupe du monde, provoque un pic d’intensité à 22.408 tweets par minute vers 22h30.

A la fin de la partie, la victoire était encore largement commentée, avec près de 15.000 tweets à la minute. «Ces commentaires sont liés à la dramaturgie du match. Ce sont des réactions très spontanées, en temps réels, qui se limitent souvent au mot “but!”. Un tweet, c’est comme un cri devant sa télé. C’est une conversation publique, dynamique, qui fait de Twitter un stade virtuel. Le réseau social prend d’ailleurs toute sa force dans ce genre d’événement», explique Thibault Celier. «Ce phénomène monte en puissance. Avec le Mondial, je suis prêt à parier qu’on (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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