L’empire sucré de Candy Crush

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Ce jeu vidéo sur Facebook et mobile, créé en 2012, compte aujourd’hui plus de 45 millions de joueurs. Son principe simple mais addictif pousse ses utilisateurs à y dépenser plus de 395.000 euros par jour.

Dans le métro. Dans le bus. Sur notre ordinateur. Avant d’aller se coucher. Bonbon par bonbon, Candy Crush a envahi la vie des internautes. Créé en 2012 par l’entreprise anglaise King (déjà à l’origine du jeu Bubble Witch Saga) , ce jeu vidéo disponible gratuitement sur mobile et Facebook connaît un succès fulgurant. Il compte aujourd’hui plus de 45 millions de joueurs, réunis dans le même but: détruire des bonbons colorés.

Effectuer des suites de la même couleur

Le principe de Candy Crush est simple. Le joueur doit créer des combinaisons de couleurs avec des bonbons apparaissant à son écran. Il doit ensuite toucher la suite effectuée afin de la faire disparaître et de laisser la place à d’autres bonbons, et ainsi de suite. Le jeu est séparé en plusieurs centaines de niveaux, auxquels des nouvelles difficultés viennent s’ajouter tous les mois. Le but est de finir chacun d’entre eux en faisant le meilleur score et surtout en restant en vie. Chaque joueur de Candy Crush se voit en effet attribuer 5 vies en début de partie. Si on les perd toutes, le jeu s’arrête. Pour chaque vie perdue, une attente de 30 minutes est nécessaire afin de la recharger. On ne fait pas que jouer une fois à Candy Crush: on y revient, régulièrement.

Le succès de Candy Crush repose avant tout sur ce sentiment d’addiction qu’il crée chez ses joueurs. Le jeu est mis à jour régulièrement, ce qui le rend quasiment impossible à terminer. Son niveau de difficulté est par ailleurs suffisamment complexe pour intéresser le joueur, mais aussi suffisamment accessible pour ne pas le décourager. Enfin, le principe – cruel – d’interrompre le jeu à chaque fois que l’on perd toutes ses vies est assez frustrant pour amener les joueur à se reconnecter, une demi-heure plus tard, et enfin finir (…)

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