L’année 2014 placée sous le signe de l’Internet des objets

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Montres, bracelets, jouets et autres appareils électroménagers communicants se partageront la vedette du CES de Las Vegas qui ouvre ce lundi avec les télés ultra haute définition.

Montres, réfrigérateurs, capteurs de mouvements, jouets les plus inattendus: les objets connectés sont le marché de ­demain. «À terme, il y en aura une trentaine dans les foyers», estime Rafi Haladjian, fondateur de Sense et créateur de la plate-forme ­Mother qui permet de gérer ses propres objets connectés. Ces nouveautés, dont on estime le nombre à 50 milliards en 2020, seront l’un des clous du Consumer Electronics Show (CES), le grand salon de l’électronique grand public qui s’ouvre ce lundi à Las Vegas (États-Unis) et auquel Fleur Pellerin, la ministre de l’Économie numérique, a prévu de se rendre. Avec au programme des rencontres avec Microsoft et Samsung, deux géants intéressés par les françaises Dailymotion et Deezer.

L’Internet des objets s’adresse à des marchés aussi cruciaux que le maintien des personnes âgées à domicile, la gestion de l’énergie et des transports Mais ce sont les petits gadgets qui devraient, une fois de plus, attirer les regards sur eux, à l’image de Sphero: une petite sphère bourrée de capteurs que l’on pilote depuis son smartphone.

Plus pragmatique, le coréen LG met en avant «HomeChat», un système destiné à dialoguer avec ses appareils électroménagers pour programmer à distance un robot aspirateur ou être prévenu par SMS quand la lessive est terminée Les applications sont multiples et préfigurent un monde où une interaction pourra être mise en place avec quasiment tous les objets, même les plus banals, comme la Cocotte-Minute connectée de SEB. Les Français, très bien représentés au CES, devraient tirer leur épingle du jeu. Archos va notamment exposer sa gamme de quinze objets connectés, sans oublier Netatmo (station ­météo et thermostat connecté), Parrot (connu pour ses drones) ou Withings (santé connectée).

Indétrônable vedette

Même si ses ventes (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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