Intel trouve du répit grâce aux mini PC et aux ordinateurs hybrides

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Pour la première fois depuis début 2012, le fabricant de puces à vu sa division PC progresser, en volumes. En attendant l’essor des objets connectés, il surfe sur les nouveaux types d’ordinateurs, notamment les alternatives au Mac mini.

Associé au monde des PC, célèbre pour son slogan «Intel Inside», Intel continue de payer son retard dans les tablettes et les smartphones. Mais une amélioration pointe.

Au cours des trois premiers mois de l’année, Intel a réalisé un chiffre d’affaires de 12,8 milliards de dollars (en recul de 8% sur un an), pour un résultat net qui plonge de 26% à 1,9 milliard de dollars. Cette perte de profitabilité va de pair avec une évolution du marché des terminaux, où l’on observe une montée en puissance des appareils d’entrée de gamme. Cette catégorie de produits génère moins de marges, pour tous les intervenants. Cependant, pour la première fois depuis le deuxième trimestre 2012, Intel enregistre une augmentation de ses livraisons de processeurs pour le marché de PC en volume (mais toujours pas en valeur).

«Le groupe bénéficie des nouveaux formats d’ordinateurs», résume Stephane Nègre, le patron d’Intel France. Ainsi, les «Nuc», abréviations de «next unit of computing» enregistrent de «belles performances commerciales» selon Intel, qui est à l’origine du concept. Il s’agit de petites unités de bureau, de 11 centimètre de long et de large, qui peuvent se cacher derrière un écran. Moins onéreuses que les tout-en-un («all in one»), elles sont appréciées aussi bien des particuliers que des PME. Ce format s’apparente à un Mac mini, en version Windows. Ce n’est pas la première fois qu’un PC est inspiré d’un Mac dans sa forme. Les ultrabooks ont fait figure d’héritiers directs des MacBook Air.

Le segment des ordinateurs portables bénéficie lui du succès de quelques (…) Lire la suite sur Figaro.fr


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