Giggs, Seedorf, Totti: les derniers footballeurs de Fifa 96 encore en activité

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Cet été, Jason Kidd et Grant Hill, les deux derniers basketteurs encore en activité qui apparaissaient dans le jeu vidéo culte NBA Jam: Tournament Edition de 1994, ont pris leur retraite, déclenchant la nostalgie des gamers passionnés de basket.

Ayant moi-même passé quelques heures de ma jeunesse à jouer à NBA Jam, la nouvelle m’a attristé au plus haut point, avant de m’amener à une question qui concerne sans doute un public plus élargi de ce côté-ci de l’Atlantique: reste-t-il encore des joueurs des premiers jeux vidéo de football?

Les fans de jeux de foot se divisent habituellement en deux catégories: les partisans de Pro Evolution Soccer (PES) du japonais Konami et ceux de Fifa de l’américain Electronic Arts. Si chaque franchise a eu ses périodes de domination en termes de qualité depuis le milieu des années 1990, et si beaucoup ont fait des aller-retour entre les deux, le premier jeu à avoir proposé les vrais noms de clubs et de joueurs est Fifa 96, paru en 1995 et qui comportait les effectifs réduits (seulement 16 joueurs par club là où la plupart en comptaient en réalité autour de 25) de la saison 1994-1995.

Voici un aperçu de la version 16-bit pour Megadrive de Fifa 96:

Le jeu est aussi le premier à proposer de la 3D en temps réel sur les consoles 32-bit (Sega Saturn et Playstation) et sur PC:

Pour comparaison, voilà à quoi ressemble Fifa 2013, dernier opus de la franchise:

Cet été, plusieurs grands noms du football européen, dont beaucoup de joueurs historiques du football anglais, ont pris leur retraite: Paul Scholes, David Beckham, Jamie Carragher, Michael Owen, Mark Van Bommel, Ludovic Giuly… La plupart d’entre eux faisaient déjà partie d’effectifs professionnels en 1995, mais ils étaient trop peu utilisés par leur entraîneur pour figurer dans les effectifs réduits de Fifa 96.

Après des heures de recherche manuelle sur une version pour Megadrive téléchargée en ligne, je suis en mesure de vous apporter la réponse à (…) Lire la suite sur Slate.fr

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