France-Allemagne: les blagues sur les nazis ont explosé sur Twitter à 18h15. Devinez ce qu’il s’est passé à ce moment là

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S’il y avait bien une chose de prévisible avant le France-Allemagne d’aujourd’hui, c’était que les blagues faisant référence au passé conflictuel entre les deux nations allaient envahir les salons et les bars de toute la France, et bien sûr Twitter. Nous vous proposions ici-même un petit bingo afin de vous amuser avec toutes les références au IIIe Reich et autres heures les plus sombres de l’histoire.

Ca n’a pas manqué, avec un véritable festival sur le site de micro-blogging qui a culminé au moment du but allemand. La courbe ci-dessus représente les occurrences du mot «nazi» sur Twitter pendant le match, avec le pic autour de 18h15 correspondant évidemment à la tête de Mats Hummels.

On voit aussi sur la courbe que la fin du match, peu avant 20h, a été un autre temps fort des insultes nazies, tandis les twittos footeux n’avaient pas attendu le début du match pour lancer les hostilités:

France-Allemagne. Faites-le pour l’Alsace-Lorraine les gars. http://t.co/74NqR3ukVF

Les médias s’en sont également donnés à coeur-joie, à l’image du Huffington Post, très inspiré:

Dos au mur (de Berlin) http://t.co/NMX3x6s4bL #FRAALL

Même après l’ouverture du score allemande, la Seconde Guerre mondiale aidait certains à rester optimistes:

Actuellement nous sommes en juin 1940 de ce match. J’ai confiance pour la suite #FRAALL

Au vu de la performance pour le moins poussive des Français, d’autres n’ont pas hésité à changer de camp:

Depuis que je soutiens l’Allemagne j’ai des tickets de rationnements et mes enfants mangent à leur faim. Faites comme moi. #CDM2014 #FRAALL

Mais que les mauvaises langues qui commencent à dire que les Français n’arrivent vraiment pas à oublier le passé et à passer à autre chose s’arrêtent tout de suite: nous ne sommes pas les seuls à avoir du mal à nous retenir de crier au nazi quand notre équipe nationale rencontre celle de l’Allemagne.

Lors du match de premier tour entre (…) Lire la suite sur Slate.fr

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