Après son rachat raté, Zuckerberg vante les qualités de Snapchat

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Lors d’une conférence à Stanford, le fondateur de Facebook est revenu sur le succès de l’application Snapchat qu’il a tenté de racheter pour 3 milliards de dollars en novembre dernier.

Mark Zuckerberg fait l’éloge de Snapchat. L’application mobile est un «phénomène de vie privée très intéressant», a déclaré le fondateur de Facebook lors d’une conférence organisée mardi par l’université de Stanford. Pour Mark Zuckerberg, Snapchat a contribué à créer une nouvelle façon de communiquer sur les réseaux sociaux. L’application a permis aux gens «qui ne pouvaient pas partager certaines choses de trouver l’endroit où ils pourraient maintenant le faire», a-t-il déclaré.

Selon Mark Zuckerberg, Snapchat s’est engouffré dans une brèche ouverte par Facebook, analyse Techcrunch. «Il n’y avait pas d’infrastructures privées pour communiquer […] Donc je pense que le type d’innovation que Facebook a apportée, c’est de créer cet espace […]. Nous avons débloqué un énorme potentiel, en rendant les gens capables de partager des idées et de savoir ce qui se passe autour d’eux», selon Mark Zuckerberg. Un potentiel qui s’avère très intéressant aussi pour les entreprises, qui peuvent cibler les publicités susceptible d’intéresser les utilisateurs.

Snapchat repousse les avances de Facebook

C’est la première fois que Mark Zuckerberg s’exprime publiquement sur Snapchat. Le PDG de Facebook porte un grand intérêt pour l’application depuis plus d’un an. Fin 2012, il a rencontré son créateur, Evan Spiegel. Durant cet échange, il l’aurait menacé de lancer l’application «Poke», quasi identique à Snapchat. «C’était à peu près comme s’il m’avait dit: nous allons vous écraser», a raconté dernièrement Evan Spiegel à Forbes.

L’application Facebook Poke, sortie en 2012, n’a pas eu le même succès que Snapchat. Revenant à la charge, Mark Zuckerberg a tenté de racheter Snapchat pour 3 milliards de dollars en novembre dernier. Google et Tencent, un géant du Web en Chine, auraient également fait leurs (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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