Après la friteuse, Oprah Winfrey vante une tablette française

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Oprah Winfrey a vanté les mérites de Qooq, une «tablette culinaire» fabriquée en France. La star de la télévision américaine avait déjà fait la promotion d’une friteuse fabriquée par le groupe Seb.

Arnaud Montebourg va pouvoir ressortir sa marinière. Oprah Winfrey, célèbre animatrice américaine, a fait la promotion auprès de ses fans d’un produit bien français, la tablette Qooq. Cette dernière figure dans la «liste des choses préférées d’Oprah», qu’elle publie chaque année sur son magazine et son site internet. «Je suis un cuistot de réfrigérateur, je cuisine avec ce que je trouve dans mon frigo», explique l’animatrice, «c’est pour ça que je pense que la tablette Qooq est fantastique».

Oprah aime cuisiner à la française

Cette «tablette culinaire» n’est pas le premier appareil français à avoir les honneurs d’Oprah Winfrey. La star de la télévision américaine avait déjà vanté les mérites d’une friteuse sans huile produite par le groupe Seb sur son compte Twitter et son compte Instagram. Un coup de publicité qui avait valu à l’entreprise toutes les attentions de l’autre côté de l’Atlantique.

De quoi faire rêver Qooq. «C’est génial que l’innovation française soit reconnue aux États-Unis!» s’exclame Jean-Yves Hepp, créateur de Qooq, flatté par la comparaison. Fabriquée depuis 2011 en Bourgogne, sa tablette veut devenir la meilleure amie des cuisiniers en herbe. Elle propose une sélection de 1000 recettes et vidéos de recettes accessibles à tous et réalisées par des chefs professionnels, soit l’équivalent de dix livres de cuisine. Ses utilisateurs peuvent aussi y enregistrer leurs propres recettes sur un carnet virtuel, planifier leurs repas sur la semaine et mettre au point une liste de courses qu’ils peuvent transmettre par mail ou sur un smartphone. Par ailleurs, Qooq dispose des mêmes fonctionnalités qu’une tablette classique: on peut l’utiliser pour naviguer sur Internet, consulter ses mails, vérifier la météo, regarder un film ou écouter ses musiques (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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