Apple vide ses comptes iTunes sur les réseaux sociaux et change ses liens

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ha oui, ça change effectivement le sens attribué à “spontané”. C’est plus clair là 🙂


“Non pas que l’ensemble de la musique urbaine soit concernée mais il faut avouer qu’une partie de l’industrie se contente de poser sa voix sur des instruments basiques sur des paroles aussi matures que… Euh… Bref !”

bah, l’industrie pond de la zic facile. Quelques accords, des paroles passe-partout et une voix quelconque qu’on trouve à la pelle.

Y a des quotas à remplir, c’est vite fait, ça rapporte, mission accomplie, on peut passer à plus intéressant. Voyez cela comme une mission des studios pour remplir les tuyaux des éditeurs et boutiques. Un peu comme quand M6 ou TF1 demandent une série “franco-française” toute pourrie, écrite à la va-vite, mal jouée, mal payée, à diffuser à 4H du matin, pour remplir un “quota”.


Autre temps, autre moeurs, l’industrie en fait faisait de même avec la disco ou la “dance” : des accords basiques mais efficace sorties du chapeau à accords magiques, des paroles rapides (“boooorn, booorn, booorn to be alive !” avouons, c’est pratique) et hop, on avait un tube à vendre aux boites de nuits, et si ça fait un succès, tant mieux. Le but premier était juste de remplir.

Bah l’industrie du jetable, ça signifie pas grand chose.


“Donc si on crée une interface de promotion autant que ce soit pour les artistes dans une démarche ar-ti-stique pardi !”

certes.

dans la pratique, y aura les deux :

– le truc à pousser que l’éditeur/distributeur pousse au cul
– du truc plus travaillé, plus de niche, pour donner une image “haut de gamme” à la boutique, afin d’attirer le gog..Heu le Oomu.

Un peu comme l’app store, où selon les besoins de l’industrie, y a des articles sur le dernier clone de “angry of clan” (ou l’inverse ? je les confonds) et subitement des articles sur des petites perles pour ios, au cas où.

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