Apple présente un iPad mini à 339 euros

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La nouvelle tablette, plus petite que l’iPad classique, reste plus chère que le Nexus 7 de Google et le Kindle Fire HD d’Amazon.

Après des mois de supputations, Apple a présenté mardi soir l’iPad mini. «Ce n’est pas un iPad réduit, il n’y a rien de plus extraordinaire que cela», a lancé Phil Schiller, vice-président pour le marketing mondial d’Apple, lors d’une conférence qui se tenait mardi dans un théâtre de San Jose, en Californie.

La tablette ne mesure que 7,2 millimètres d’épaisseur. Elle est 53% plus légère qu’un iPad classique (308 grammes) et sera disponible en deux couleurs, noire et blanche, dans un matériau qui rappelle l’iPhone 5. Comme attendu, l’écran de l’iPad mini sera de 7,9 pouces, là où ceux des générations précédentes mesuraient 9,7 pouces. Tous les logiciels pour iPad fonctionnent sur l’iPad mini sans avoir besoin d’être adaptés. «Cette tablette est géniale pour lire ses emails, naviguer sur Internet et gérer ses photos», a assuré Phil Schiller.

Côté technique, l’iPad mini reprend le vieux processeur A5 de l’ancien iPad 2, intègre une caméra FaceTime en façade, un capteur de 5 megapixels au dos et le nouveau connecteur «Lightning», déjà vu sur l’iPhone 5. Son autonomie sera de 10 heures. L’iPad mini sera disponible à partir du 2 novembre dans 34 pays, dont la France. Comme son grand frère, il arrivera dans six versions différentes, selon le stockage (16,32 ou 34 Go) et la compatibilité avec la 3G/4G ou le seul WiFi. Les prix s’étaleront de 339 à 674 euros.

Une réponse à Google et à Amazon

Apple détient 65% du marché des tablettes. Avec cette nouvelle version, plus petite et plus abordable, Apple espère reproduire l’exploit accompli dans les baladeurs. Près de dix ans après la mise sur le marché du premier iPod, il détient encore 70% du marché. Pour parvenir à asphyxier ainsi la concurrence, Apple n’a pas hésité à décliner son iPod en différentes versions, allant de l’iPod shuffle à 59 euros à l’iPod touch à 439 euros, en passant par l’iPod (…)

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