Tumblr, portrait-robot de la nouvelle coqueluche d’Internet

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La plateforme de blogging, achetée pour 1 milliard de dollars par Yahoo!, a attiré des dizaines de millions d’utilisateurs en six ans grâce à sa simplicité d’utilisation et son image «cool».

Le rachat par Yahoo! de Tumblr braque les projecteurs sur cette plateforme de blogs très populaire aux États-Unis, mais assez peu connue en France. Lancé en 2007 par David Karp, 20 ans à l’époque, Tumblr a connu un succès fulgurant grâce à sa simplicité d’utilisation et son accent mis sur le partage. À ce jour, 109 millions de blogs ont été créés.

Une simplicité enfantine

Il suffit d’une simple adresse email pour créer son compte Tumblr, et y associer autant de blogs que l’on souhaite. Pas besoin d’avoir de connaissances en Photoshop ou code HTML pour avoir un joli site personnel: Tumblr propose une large bibliothèque de «thèmes», gratuits ou payants, pour donner une identité visuelle à son blog. Les néophytes en création de site web peuvent donc se lancer les yeux fermés. Pas de crainte non plus si l’écriture de longs articles n’est pas votre tasse de thé. Tumblr privilégie les formats courts, comme une photo assortie d’une légende.

Une plateforme axée sur le multimédia

«Lorsque j’ai commencé à imaginer Tumblr en 2005, je souhaitais développer un service qui permettrait à n’importe qui de pouvoir s’exprimer sans aucune limitation en utilisant le format de son choix», explique le créateur de la plateforme dans une interview pour Le Journal du Net. Concrètement, il est possible de mettre en ligne du texte, bien évidemment, mais aussi des photos grand format, des vidéos, ou du son en quelques clics. Vous avez trouvé une photo amusante sur Internet? Pas besoin de l’enregistrer sur votre ordinateur. Il suffit d’entrer l’URL de l’image, et le tour est joué.

Le partage au centre de Tumblr

Contrairement aux blogs classiques qui évoluent indépendamment les uns des autres, Tumblr incite ses utilisateurs à s’abonner à d‘autres blogs, afin d’être mis au courant de leurs mises (…)

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