SFR aligne son forfait RED sur le prix de Free mobile

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L’offre «low cost» passe à 19,99 euros, sans engagement, dix mois après l’arrivée du quatrième opérateur.

SFR aura pris son temps. Après dix mois de baisses de prix successives, l’opérateur a enfin calé ce mardi son abonnement sans engagement avec le prix du forfait de Free mobile. L’offre «série RED 3 Go» avec des appels, SMS et MMS illimités vers la France, des communications vers une cinquantaine de destinations et 3 Go d’accès à Internet est désormais vendue 19,99 euros. Le forfait d’entrée de gamme reste proposé à 9,90 euros avec deux heures d’appels et des SMS et MMS illimités.

Comme le signale PCInpact, il subsiste encore quelques différences avec Free. Le débit maximum théorique plafonne à 7,2 Mb/s, quand celui de Free est supposé atteindre 14 Mb/s. SFR marque ainsi sa différence avec ses nouvelles offres classiques, les formules «Carrées», vendues avec des smartphones, dont les débits peuvent monter jusqu’à 42 Mb/s. Sur ce réseau, le téléchargement d’applications ou de photos prend deux fois moins de temps.

Joe mobile arrive le 23 octobre

Lors du lancement de la «série RED» il y a près d’un an, le forfait le plus cher comprenait 2 heures d’appel, des SMS et MMS illimités, 2 Go de données pour Internet à 34 euros par mois. SFR a plusieurs fois ajusté ses prix, mais jamais au point de se caler sur Free mobile. Orange et Bouygues Telecom ont été plus réactifs avec leurs marques BYou et Sosh, qui proposent des forfaits avec appels illimités et 2 ou 3 Go de données à moins de 20 euros.

L’alignement de la série RED sur le forfait mobile de Free est une demi-surprise. Lors de la présentation de ce forfait le mois dernier, la «série 3 Go» avait été annoncée à 24,90 euros. Mais le nouveau patron de l’opérateur expliquait au Figaro vouloir être «beaucoup plus agressif» que ses prédécesseurs pour réagir à l’irruption de Free mobile dans le secteur. SFR ne devrait pas s’arrêter là. Mardi prochain à 11 heures, il lancera une nouvelle marque, Joe mobile, sur le (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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