Pourquoi Facebook ne perdra pas 80% de ses abonnés d’ici 2017

Author:

Une étude réalisée par deux chercheurs de l’université de Princeton annonce la disparition imminente du réseau social. Facebook dénonce l’«absurdité totale» d’une étude menée avec des méthodes peu scientifiques.

Attention à ne pas enterrer Facebook trop vite! Le réseau social est certes en perte de vitesse mais l’étude des deux chercheurs de l’université de Princeton annonçant sa mort d’ici quelques années est peut être allée un peu vite en besogne Les scientifiques de Facebook dénoncent des méthodes peu scientifiques. Un porte parole de la star du web 2.0 estime même que «l’étude proposée par Princeton est une absurdité totale».

Deux chercheurs de la célèbre université américaine de Princeton sont parvenus à la conclusion que le premier réseau social au monde allait perdre 80% de ses utilisateurs entre 2015 et 2017. En guise de réponse, Facebook – reproduisant les conditions de l’étude des doctorants de Princeton – indique que la prestigieuse université américaine serait elle aussi menacée de disparition et pourrait perdre l’ensemble de ses étudiants d’ici 2021.

Les deux doctorants en ingénierie mécanique et aérospatiale ont basé leur analyse sur une comparaison de Facebook à une maladie infectieuse. «Il a été montré que les idées, comme les maladies, se propagent de manière infectieuse entre les gens, avant de mourir, et cela a été décrit avec succès par les modèles épidémiologiques». Pour leur étude toujours en cours d’évaluation avant une éventuelle publication officielle de la prestigieuse université américaine, les deux chercheurs partent donc du postulat que ces mêmes modèles épidémiologiques seraient applicables au réseau social de Mark Zuckerberg.

L’utilisation des mobiles oubliée

John Cannarella et Joshua Spechlere ont en outre comparé le destin du réseau qui compte plus d’1,1 milliard d’usagers au cas de MySpace, l’ancienne plateforme préférée des musiciens lancée en 2003 qui a connu son heure de gloire avant une chute vertigineuse. Mais les (…) Lire la suite sur Figaro.fr

Inscrivez vous à la newsletter du Figaro

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *