Le 5 octobre 2011, Steve Jobs décédait à la suite d’un cancer du pancréas. Un an après la mort du co-fondateur si charismatique d’Apple, la relève a été assurée dans la douleur.
Un tremblement de terre. Voilà comment a été vécue la mort de Steve Jobs, le 5 octobre 2011. Alors qu’il avait démissionné de la tête d’Apple le 24 août de la même année, l’entrepreneur avait été emporté par un cancer du pancréas à son domicile de Palo Alto, en Californie. Si les hommages du monde entier se succédaient, de nombreuses questions se sont posées concernant l’avenir de la marque à la pomme. Son fidèle allié, Tim Cook, a pris la relève mais suscitait bien des interrogations.
Force est de constater qu’une année après le décès de Steve Jobs, Apple continue d’être incontournable. La preuve n’est autre que son ascension en bourse avec une progression de 75% de son action et une capitalisation qui a dépassé les 600 milliards de dollars. “Les résultats parlent d’eux-mêmes. J’ai vu comment cela se passe en cuisine, et sur le plan opérationnel, c’est tout simplement phénoménal. A-t-on jamais vu un produit qui a atteint de tels volumes en si peu de temps ?”, réagissait Avadis Tevanuan, ancien vice-président de la branche logiciel de la marque.
Présenté comme l’antithèse de Steve Jobs, Tim Cook n’est pas parvenu toutefois à faire oublier son illustre prédécesseur. Le nouveau patron d’Apple doit même être confronté à de nombreuses critiques du fait qu’il n’a pas apporté de révolution. Le manque de nouveautés dans le nouvel iPhone 5 a notamment beaucoup déçu dans le monde entier. Pire, les multiples bugs de l’application de cartographie Apple Maps a alimenté la désillusion. Tim Cook a même été jusqu’à s’excuser pour ces ratés.
Un an après la mort de Steve Jobs, l’après-Apple apparaît donc comme mitigé mais la marque continue d’avoir une grande réputation dans le monde.
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