Microsoft dévoile son service gratuit Xbox Music

Author:

Le géant de l’informatique lance un service musical attractif. La lecture de 30 millions de morceaux sera offerte avec le futur système d’exploitation Windows 8.

Douze jours avant le lancement de Windows 8 pour PC et tablette, Microsoft donne déjà une bonne raison d’adopter son futur système d’exploitation.

Le géant de Redmond qui a raté le marché des baladeurs musicaux, capté par Apple et dans une moindre mesure par Samsung et Sony, veut s’installer sur le marché de la musique en ligne. Le service, baptisé «Xbox Music », va permettre d’écouter gratuitement, sur Internet, des morceaux issus d’un catalogue de 30 millions de titres, à partir d’un PC ou d’une tablette équipée de Windows 8. Ce sera mieux qu’avec iTunes Music Store d’Apple qui propose gratuitement d’écouter seulement une partie d’un morceau.

«Nous avons renégocié les accords avec tous les labels de musique. Mais certains morceaux ne seront pas accessibles dans l’offre gratuite de service musical, car certains groupes refusent le “streaming”  gratuit de leurs œuvres », précise Marc Jalabert, directeur de la branche grand public de Microsoft France. Le catalogue spécifique pour l’Europe et l’Hexagone sera annoncé ultérieurement. Les précisions seront données avant le lancement de Windows 8, le 26 octobre, et le démarrage de Xbox Music dans 15 pays. Il est précisé que le service d’abonnement mensuel, appelé «Music Pass », sera de 9,99 euros et permettra d’écouter tous les morceaux souhaités dans 22 pays, dont la France.

Sur ce créneau de l’abonnement, Microsoft sera en concurrence frontale avec Spotify, Deezer et autre Zaoza de Vivendi. Enfin, comme Apple avec sa discothèque iTunes, Microsoft va également vendre des titres à l’unité ou à l’album. Les prix annoncés pour les États-Unis sont comparables à ceux d’Apple. Mais ceux pour l’Europe ne sont pas encore connus.

L’originalité de l’offre de Microsoft est de fédérer le contenu musical pour quatre équipements distincts d’un utilisateur. Le service (…)

Lire la suite sur Figaro.fr

Inscrivez vous à la newsletter du Figaro

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *