HTC One M8 : nos premières impressions

Author:

VIDÉO – Nous avons pu prendre en main le nouveau smartphone du constructeur taïwanais. Une rapide expérience plutôt agréable.

À Londres

Comment HTC pouvait-il améliorer son smartphone vedette, le One, «modèle le plus vendu de la marque», selon sa présidente Cher Wang? En le rendant plus élégant, plus performant et plus astucieux.

Voici donc le HTC One M8, nouvelle version du HTC One, qui se distingue par un design plus soigné avec un boîtier unibody quasi entièrement en aluminium. La prise en main est particulièrement agréable, avec un dos légèrement arrondi, et donne surtout une bonne impression de solidité. L’écran, à peine plus grand (5 pouces contre 4,7 sur le One), est plus lumineux et plus réactif mais garde la même définition de 1920×1080.

L’environnement maison baptisé HTC Sense profite de nombreuses améliorations dont une plus grande ouverture vers différentes applications pour composer l’écran d’accueil. On apprécie l’effort porte sur la restitution audio avec de nouveaux haut-parleurs stéréo en façade plus puissants et plus précis que sur le One.

Deux capteurs photo à l’arrière

Innovation de taille: on trouve deux capteurs photos à l’arrière qui travaillent de concert pour accélérer la mise au point et offrir de nouvelles options comme l’effet de flou en arrière-plan qui peut être ajusté après la prise de vue. Nous avons largement testé cette fonction et le résultat est plutôt bluffant, presque comparable à ce qu’on obtient avec un appareil photo reflex.

L’étui optionnel de HTC One m8 affiche l’heure, les appels entrants et le nombre de messages sans qu’il soit besoin de découvrir l’écran. La lumière provient de l’écran lui-même. En glissant le doigt sur l’étui, on peut activer les commandes vocales.

Enfin, la batterie est aussi plus performante et un nouveau système d’économie d’énergie améliorerait nettement l’autonomie du nouveau One. Selon le chef produit HTC qui l’utilise depuis plus d’un mois, le nouveau modèle offre largement 30% (…) Lire la suite sur Figaro.fr

Inscrivez vous à la newsletter du Figaro

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *