Ces applis qui vont chatouiller vos narines

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Des designers et développeurs imaginent des applications et objets connectés pour stimuler vos sens. SMS parfumé, montre olfactive, réveil au bacon Voici cinq innovations qui vont vous mener par le bout du nez.

Envoyer un SMS parfumé, connaître l’heure grâce à une montre olfactive ou sniffer le menu d’un restaurant sur son téléphone. Des entreprises développent de plus en plus d’applications et d’objets connectés pour stimuler votre sens olfactif. Palmarès.

• Envoyer un SMS parfumé

Après les SMS et les MMS, vous pourrez bientôt envoyer un PMS (Perfumed Messaging Service) grâce à l’oPhone, un générateur d’odeurs qui permet de reproduire près de 10.000 parfums différents. Comment ça marche? Sur une application, l’utilisateur pourra sélectionner une senteur et l’envoyer à un destinataire équipé de l’oPhone. Au moment de la réception, l’appareil connecté à l’appli activera des cartouches d’odeurs qu’il assemblera pour créer la fragrance que vous avez sélectionnée.

Développé par Le Laboratoire, un centre d’expérimentation artistique et de design à Paris, ce projet sera présenté au grand public à la rentrée. Grâce à l’oPhone, David Edwards, gérant du Laboratoire et professeur à Harvard pense qu’on pourrait mieux «communiquer nos pensées et nos émotions, et même surmonter les barrières des langages, des cultures et des espèces entre elles». Si le projet est encore à l’état de prototype, ses concepteurs comptent bien le commercialiser. Aucune date de sortie n’a encore été communiquée.

• Sniffer le menu d’un restaurant via son mobile

Et si vous pouviez «tester» votre restaurant de chez vous? C’est ce que permet une application développée par le chef espagnol Andoni Luis Aduriz, qui vous propose de sentir à distance les plats de son restaurant Mugaritz, très porté sur l’innovation et la recherche culinaire. Le principe est simple: après avoir sélectionné le plat de votre choix, l’odorama Smell-o-vision branché sur votre smartphone diffuse les senteurs des (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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