Beats Music défie Spotify aux États-Unis

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Beats lance son service de streaming musical, Beats Music, et se démarque avec une offre «familiale» qui permet une écoute sur dix appareils, pour cinq membres d’une même famille.

Le constructeur de casque Beats Electronics a lancé le 21 janvier son propre service de streaming musical: Beats Music. Ce service est disponible sur le Web et sur iOS et Android via des applications. Petit nouveau sur un marché déjà très concurrentiel, Beats Music cherche à se démarquer de ses nombreux concurrents dans la musique en ligne.

Le constructeur met en avant son système de recommandations musicales. Si Spotify et Deezer prennent déjà en compte ce type de critères pour proposer des listes de lectures, Beats Music entend aller plus loin dans ce domaine. Promettant de trouver «le bon son au bon moment», il sélectionne de la musique en fonction de l’environnement de l’utilisateur, de son humeur, de son activité ou encore de ses préférences musicales. Avec la mise en place de quatre fonctions clés, nommées «just for you», «the sentence», «highlights» et «find it», Beats Music propose des listes de lectures qui correspondent aux envies de l’utilisateur.

Un abonnement familial

L’autre particularité de la plateforme vient de sa formule d’abonnement «familiale». Beats Music propose aux client d’ATT, premier fournisseur américain de services téléphoniques, un abonnement de 14,99 dollars par mois pour cinq membres d’une même famille, et disponible jusqu’à dix appareils. Les consommateurs ne souhaitant pas souscrire à cet abonnement «famille» peuvent toujours payer un abonnement classique. Cette offre est une grande nouveauté sur le marché de la musique en streaming. Ni Spotify, ni Deezer ne proposent ce type d’abonnement.

Les Américains sont pour l’instant les seuls à accéder à la nouvelle plateforme musicale. Beats Music se retrouve dans un marché de la musique numérique toujours dominé par iTunes d’Apple, mais qui migre vers le streaming, où les grands noms sont Rdio, Pandora et (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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