Apple Silicon : ces changements qui ont maintenant du sens

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La transition vers les « puces Apple » marque le début d’une nouvelle ère, mais aussi la fin d’un cycle. Des décisions autrefois controversées ou obscures s’imposent aujourd’hui comme des évidences. Pour mieux comprendre le futur, revenons quelques années dans le passé, et voyons comment Apple s’est donné les moyens d’abandonner les puces Intel.

Le loup T2 dans la bergerie Intel

Ne versons pas dans la téléologie : les puces T1 et T2 n’étaient probablement pas les premières étapes d’un plan en 294 points pour remplacer les processeurs x86_64 par les processeurs ARMv8-A. Bien au contraire, elles semblaient constituer les prémices d’une stratégie de convergence originale, dans laquelle le Mac aurait deux « cerveaux ». Quatre ans plus tard, force est toutefois de constater qu’elles ont aidé plutôt que freiné la transition.

Dès 2016, les Mac renfermaient des systèmes sur puce (SoC) ARM1. Plus encore que la puce T1, la puce T2 a changé la physionomie des machines d’Apple, et pas seulement en occupant une place centrale sur la carte-mère de l’iMac Pro. En prenant le contrôle des composants, elle a mis fin aux réparations tierces, du moins pas sans les pièces fournies et certifiées par Apple.

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