La Google TV débarque en France

Author:

Sony commercialisera, le 27 septembre, une Google Box permettant d’accéder à des contenus Internet, à de la vidéo et à des applications sur son téléviseur.

La Google TV en France a longtemps fait figure d’arlésienne. Mais cette fois, ça y est, Sony sera le premier des partenaires de Google à franchir le pas et à offrir un accès à la Google TV hors des États-Unis. Sa Google Box sera commercialisée en France dès le 27 septembre, à 200 euros. Cette nouvelle boîte se branchera entre la box du fournisseur d’accès Internet et le téléviseur de n’importe quelle marque.

Le développement de ce service est aussi long que compliqué. Les débuts en 2010 ont été plus que laborieux aux États-Unis. Sony y a alors enregistré un cuisant échec commercial avec la première version de la Google TV et Logitech a failli en périr.

Mais cette fois, c’est promis, les erreurs du passé ont été corrigées, même si Google ne communique aucun chiffre sur le nombre d’utilisateurs de la deuxième version de son service, lancé en octobre dernier outre-Atlantique. «Nous bénéficions aujourd’hui d’un écosystème plus favorable», souligne Christian Witt, le patron de Google Europe et Moyen-Orient. Les consommateurs sont sensibilisés aux usages de la télé connectée, un écosystème avec des applications est en train de se développer et les prix des microprocesseurs ont plongé, rendant les appareils plus accessibles.

Le point positif est que Google a tiré les leçons du passé. Ainsi, le moteur de recherche indexe désormais les réponses en trois catégories: les réponses en format texte (sites Web classiques), celles en format vidéo (ce qui permet de retrouver un film plus rapidement parmi toutes les offres de vidéo à la demande sur Internet) et les applications. En effet, la Google TV fonctionne sous Android, le système d’exploitation de Google pour smartphones et tablettes. Les consommateurs ont donc eu l’occasion de se familiariser avec cet environnement.

En revanche, la Google TV n’a toujours pas la (…)

Lire la suite sur Figaro.fr

Inscrivez vous à la newsletter du Figaro

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *