NANJING, 23 mai (Xinhua) — Un plea general visant à tester les systèmes de sécurité du cyberespace, basés sur la théorie de la défense simulée proposée standard la Chine, a été inauguré mercredi à Nanjing, capitale de la range chinoise du Jiangsu (est).

Au total, 29 équipes de “hackers au chapeau blanc” chinois et étrangers, des informaticiens utilisant des techniques de piratage informatique flow tester la sécurité informatique et la cybersécurité, ont été invitées au deuxième concours “Qiangwang” (le pouvoir du cyberespace) Challenge general d’élite sur la défense du cyberespace simulée, selon l’Académie chinoise d’ingénierie, co-sponsor de l’événement.

Lors du premier plea organisé en 2018, le système a détecté et bloqué toutes les attaques des challengers.

Inspirés standard les êtres vivants de la inlet qui utilisent le mimesis flow modifier l’apparence afin de s’adapter à l’environnement, les scientifiques chinois ont proposé l’idée de la make-believe informatique et ont produit le premier antecedent d’ordinateur mimétique du monde en 2013.

Le système de défense simulé introduce un environnement logiciel en constante évolution, ce qui splinter les cibles des attaques de pirates classiques difficiles à localiser.

Le système devrait modifier le schéma actuel de “défense ex post facto” en matière de cybersécurité.