Facebook et Google défilent pour le mariage pour tous

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Mark Zuckerberg a participé aux côtés de ses employés à la gay pride de San Francisco ce dimanche. Les entreprises web soutiennent de longue date les droits des minorités sexuelles.

En juin, Internet a hissé le drapeau arc-en-ciel. A l’occasion du mois des fiertés LGBT (gays, lesbiennes, bisexuels, transexuels), les grandes entreprises du web ont exprimé leur soutien à cette communauté par une série d’engagements et de manifestations.

Cet engagement, pour la plupart de ces sociétés, n’est pas nouveau. Mais il a été plus fort que jamais. En effet, la Cour suprême a invalidé le 26 juin la loi fédérale «DOMA» qui définissait le mariage comme l’union entre un homme et une femme. La décision permet notamment aux couples homosexuels de se marier à nouveau en Californie, État où se trouve la plupart des entreprises web américaines. Une bonne occasion de célébrer leur engagement auprès des couples de même sexe, comme le montrent ces différents exemples.

Facebook: Mark Zuckerberg en star de la gay pride de San Francisco

C’est sans doute l’entreprise dont le soutien aux droits de la communauté LGBT a été le plus médiatisé. Et pour cause: son très célèbre patron, Mark Zuckerberg, a décidé de prendre part à la marche des fiertés de San Francisco 2013, aux côtés de 700 employés (soit un quart de ses effectifs en Californie). Facebook participe depuis trois ans à cet évènement. Pour cette édition, les employés arboraient un tee-shirt créé spécialement pour l’occasion. Le campus de Facebook a quant à lui été redécoré avec des bannières arc-en-ciel. Le réseau social a même mis à disposition de ses utilisateurs une icône spéciale pour célébrer l’abandon de la loi DOMA, et un hashtag: #PrideConnectsUs («la fierté nous connecte»).

Instagram: des photos contre la loi DOMA

Racheté par Facebook en 2012, il était logique qu’Instagram soutienne lui aussi les droits de la communauté LGBT. Le site a rendu public cet engagement en publiant sur son blog officiel une sélection de (…) Lire la suite sur Figaro.fr

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